Bonjour,

Face à ces publications, je m’interroge sur les leviers existants pour les entreprises et le désarroi des préventeurs.

Je m’interroge également sur les possibles recours juridiques des personnes concernées dans le cadre d’un « préjudice d’anxiété »… car, a priori, toutes les personnes concernées pourraient demander une évaluation de ce préjudice (et peut-on chiffrer cet impact potentiel?)

C’est le rôle de ces organes d’alerter.

Je crains que nous nous trouvions dans une impasse et ce n’est pas le traitement de la pénibilité au sein des entreprises qui résoudra ce sujet.

Il y a quelques années, j’avais lu un livre d’Ingrid BRUNSTEIN, de mémoire. A l’époque, j’avais trouvé ce livre très pertinent vis à vis des horaires atypiques. je crois que je vas le reprendre histoire de me ré-imprégner de ce sujet.

@+

jérôme

Cet article a 0 commentaires

  1. Henri

    Hello !

    En tant que Préventeur je n’ai aucun désarroi à propos du travail de nuit : c’est très simple il n’y a pas d’autre solution que de le décaler en journée ! Car c’est un mode d’activité contre-nature, il pénalise donc forcément ses acteurs.

    A+

    1. safetyfirst

      C’est certain mais que faire donc dans la fonction prévention ?

Laisser un commentaire