AUTONOMIE AU TRAVAIL – entreprise libérée – Du discours à la réalité

Bonjour,

je vous reroute un article paru ce jour dans ouest france qui fait écho à un premier datant de février de cette année (entreprise libérée et génération Y).

Ces deux articles ne sont pas orientés tout à fait sur le même axe que celui que je vous ai proposé il y a un mois (entreprises responsabilisantes (art du 14/09/2016).

Il ressort un besoin essentiel : celui de donner du sens. En ceci, je reviendrai volontiers sur mon article du 14 septembre dernier : le travail ne doit pas être un sujet tabou face à une culture du zapping et des loisirs. Il est encore possible de s'épanouir au travail. Faut-il croire au collectif et éviter de s'arrêter sur les fameux talents!

J'ai déjà évoqué ce sujet (il y a quelques années, je crois…). Face à cette demande d'organisations responsabilisantes ou démocratiques, les entreprises recrutent souvent des "talents". Nous sommes dans une opposition des genres où l'on met en avant un talent (star individuelle) et entreprise à l'identité plurielle. Aussi, alors que les entreprises doivent faire face à une demande croissante de sens à donner on a jamais autant trouvé d'individualités fortes et incapables de transparence tant leurs égos sont surdimensionnés.

Ce sujet est néanmoins beaucoup plus large que ce point spécifique et je suis en phase avec l'article ci-dessus concernant l'absence de recette toute faite pour revoir son mode de management et les impacts sur les organisations et donc les équipes.

Comme pour des sujets de transformation d'une démarche sécurité en culture sécurité, la clairvoyance est de s'engager en acceptant une aventure de 3 à 5 ans (voire plus) avant d'observer des changements culturels majeurs. Le management est ainsi fait par les Hommes qu'il ne se modifie pas en quelques mois car les croyances sont présentes et elles doivent être ajustées individuellement en commençant par les équipes de direction. Cette équipe aura la lourde tâche de définir le cap, ou la vision qu'elle souhaite à 5-7 ans et s'y tenir.

bonne journée, bonne semaine.

Jérôme

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