la Traçabilité des expositions en France – l’exemple de la mine de Canari en Corse

J'ai rencontré un "préventeur" qui indiquait que la loi française ne demandait plus aucune traçabilité des expositions professionnelles suite à l'arrêt de la pénibilité dans sa mouture à 10 facteurs de risques.

LA prévention encore une fois se limite à la réglementation ou à l'ISO.

Je voudrais rappeler que le préventeur a deux missions principales :

 – protéger le dirigeant

 – protéger les salariés

 – … voire une troisième qui est la protection de l'environnement immédiat en cas d'événement non souhaité sortant du périmètre de l'entreprise (c'est le cas ci-dessous).

prenez le temps de voir l'histoire de la dernière et peut-être seule mine d'amiante en France. Quelle évolution des discours entre les années 1960 et aujourd'hui !

Et pourtant, les conséquences potentielles étaient déjà connues.

Jérôme

 

0 commentaire

  1. Hello !
    Après ce titre, ce court article ne dit pas grand chose sur le fond… ou du moins je n’ai pas compris quel était son propos (même si les 3 vidéos sont intéressantes à titre historique).
    Mais en tout cas le Préventeur en question a tout à fait raison s’il ne parlait effectivement que de la fiche Individuelle d’expo à la pénibilité (la pénibilité du début…). Cette fiche a bel et bien rapidement disparu, contrairement à d’autres exigences réglementaires du genre pour certaines expositions.
    A lire sur le sujet : http://www.inrs.fr/demarche/penibilite/tracabilite-des-expositions-aux-facteurs-de-penibilite.html
    A+

    1. l’idée était d’illustrer la nécessaire traçabilité des expositions et bien évidemment que la pénibilité (ancienne mouture) n’est pas une fin en soi. la traçabilité des expositions reste l’un des enjeux fondamentaux de la prévention des risques professionnels.

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